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Gestion de l’état
Ma priorité pour Genève : La gestion de l’état
Mon but : Un État efficace et moderne, au service des citoyens et des entreprises
Je m’engage pour assurer que les tâches de l’État soient conçues et effectuées de la manière la plus efficiente possible, afin de réaliser un maximum d’économies tout en offrant toutes les prestations publiques qu’attendent les habitants et les entreprises du Canton. Notamment, je m’engage pour un emploi judicieux des nouvelles technologies, et pour l’application des « meilleures pratiques » de gouvernance.
Sur le plan fédéral, on applique le frein à l’endettement, et c’est une bonne chose. À Genève également, l’État ne doit pas vivre au dessus de ses moyens. Ces dernières années, les comptes ont été globalement équilibrés. Mais il faut rester vigilant. Des économies sont possibles, et pour cela il faut harmoniser les outils informatiques disparates de l’administratoin cantonale, introduire de nouveaux outils, introduire des modèles de gestion plus légers, rapides et souples. Il faut identifier quelles sont les fonctions dont on peut se passer, ce qui permet de rééquilibrer des fonctions où il y a surcharge de travail sans coût supplémentaire, voire avec des économies à la clé. Genève a un nombre de fonctionnaires par habitant très élevé en comparaison suisse. Il y a manifestement de la marge.
Les questions de gestion et de gouvernance de l’administration publique m’intéressent beaucoup, pas seulement dans le débat politique, mais aussi dans le cadre professionnel et de la recherche. J’ai publié récemment trois articles dans des revues spécialisées sur des sujets liés au fonctionnement de l’état. L’un sur les opportunités et défis de l’introduction de la blockchain pour faciliter les procédures de reconnaissance de documents par l’administration. Deux autres sur les méthodes de travail et les outils inédits qui ont été utilisés par l’administration suisse durant la crise du Covid-19 pour adopter et mettre en œuvre des mesures d’urgence dans des délais inimaginables. Dans ces deux articles, j’examine dans quelle mesure l’organisation de crise de l’administration publique correspond à certains éléments de ce qu’on appelle « l’agilité ».
Voici mes articles sur l’innovation dans les processus administratifs :
Un article sur la blockchain dans les procédures administratives, intitulé “Blockchain in international e-government processes: Opportunities for recognition of foreign qualifications”, Research in Globalization, Volume 3, 2021. Vous pouvez le télécharger ici :
Un article sur l’agilité et l’innovation dans l’administration publique, intitulé “Public management, agility and innovation: The Swiss experience with the COVID-19 loan scheme”. International Review of Administrative Sciences. Vous pouvez le télécharger ici :
Un article sur la même thématique, mais plus long, intitulé “Agile Governance and Digitally Enhanced Administrative Procedures: Lessons from the Swiss COVID-19 Credit Facility”. IUG Business Review, 5(1):15-38. Vous pouvez le télécharger ici :
Pourquoi faut-il un État plus performant ?
Si la Suisse bat tous les records de prospérité et de qualité de vie, c’est pour diverses raisons. Parmi elles, une bonne gouvernance et une administration efficiente. Notre pays est bien géré, et nous en profitons tous, citoyens et entreprises. C’est aussi une des raisons de notre attractivité sur le plan international. Il faut maintenir ce cap.
En outre, les déficits, s’il y en a, se paient tôt ou tard par une augmentation de la charge fiscale, ce qui porte préjudice au pouvoir d’achat tout particulièrement de la classe moyenne.
Dernière mise à jour: 12 juin 2024, Pauletto, Chistian
Updated on: 12 June 2024, Pauletto, Christian