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Environnement
Ma priorité pour Genève : L'environnement
Mon but : Qu’avons-nous de plus précieux à transmettre à nos enfants ?
Poser la question, c’est déjà y répondre.
La politique de l’environnement a été mon premier job à la Confédération. J’étais négociateur suisse pour la Convention sur le climat et la Convention sur la biodiversité, et d’autres accords environnementaux internationaux. Je veux continuer de m’engager pour l’environnement aux niveaux global et local.
La transition énergétique doit être conduite avec détermination et ambition dans le Canton. Je m’engage pour soutenir l’installation de paneaux solaires partout où cela est possible.
Genève a en outre besoin de plus d’ilôts de fraîcheur, de faciliter davantage les déplacements à pieds et à vélo, et de maintenir intact le peu qui lui reste de milieux naturels et de biodiversité. En milieu urbain, le volume de verdure doit être maintenu: tout abattage d’arbre(s) doit être remplacé par d’autres arbres. Il importe aussi de désimpermabiliser les sols là où cela est possible et de réduire l’illumination nocturne inutile.
Ces mesures sont indispensables à une stratégie climat et représentent un plus pour la biodiversité.
Dans cet esprit, je me suis engagé activement dans quatre campagnes récentes
1. La campagne pour la loi sur le CO2
Je me suis engagé pour la loi sur le CO2, c’est-à-dire contre le référendum lancé par l’UDC. J’ai fait campagne sur les stands, bien sûr, et aussi dans la presse. Dans le « Face-à-Face » entre Mme Céline Amaudruz et moi publié dans les colonnes de la Tribune de Genève, je mets en avant entre autres la dimension globale de ce défi, et le devoir pour Genève et la Suisse de faire preuve de solidarité :
2. La campagne pour la loi sur le climat et l’innovation
Nous avons gagné le vote sur la loi sur le CO2 à Genève, mais nous l’avons hélas perdu au niveau suisse. Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là. J’ai fait campagne pour la loi sur le climat (contre-projet indirect à l’Initiative sur les glaciers). L’UDC a récidivé avec un référendum, mais cette fois nous l’avons emporté. Vous trouverez mes arguments dans mon opinion publiée dans Le Temps du 24 mai 2023, intitulée «Oui à la loi sur le climat, oui aux technologies innovantes»:
J’ai également défendu le Oui à cette loi dans l’édition de mai 2023 du magazine mensuel du parti du Centre, dans un article co-signé avec Patricia Bidaux, députée du Centre au Grand Conseil:
3. La campagne pour des entreprises responsables
Outre la loi sur le CO2, j’ai aussi fait campagne pour l’initiative sur les entreprises responsables. J’étais membre du Comité bourgeois pour cette initiative, tout comme bon nombre d’autres figures politiques du Centre (capture d’écran ci-contre).
J’ai là aussi, en plus des stands, fait campagne dans la presse, avec une opinion dans Le Temps intitulée « Promouvoir la responsabilité des entreprises pour renforcer la Genève Internationale », (Le Temps, 13 novembre 2020, édition web) :
Nous avons gagné ce vote à Genève, mais nous l’avons hélas perdu au niveau suisse. Je reste toutefois convaincu que la voie proposée par l’initiative était bonne et n’aurait pas porté un préjudice à l’économie du Canton.
4. La campagne pour une imposition écoresponsable des véhicules
Parmi les diverses sources de pollution, je m’engage notamment pour réduire la pollution causée par les voitures. Dans ce but, une loi préparée par le Grand Conseil a été soumis en votation populaire (contre-projet à une initiative UDC). Elle prévoit de taxer les voitures en fonction de leurs émissions de CO2. Elle impose une taxe équivalente sur les véhicules électriques. J’ai fait campagne pour cette loi, car elle remplit les conditions d’une politique équilibrée, à savoir:
– elle propose des incitations plutôt que des contraintes,
– elle est efficace pour réduire la pollution,
– elle couvre aussi les véhicules électriques,
– elle vise une neutralité fiscale.
Vous trouverez mes arguments dans ma lettre du jour publiée dans La Tribune de Genève du 18 janvier 2024, intitulée «Pour une imposition écoresponsable»:
La population a accepté cette loi avec 57% de “oui”.
L'environnement local
Si l’environnement mondial est important, l’environnement local l’est tout autant, surtout dans un canton qui compte peu de nature, comme Genève.
Il faut continuer de réduire la pollution sonore et lumineuse en ville. Il faut continuer de re-naturer les rives du lac et de préserver les écosystèmes de notre lac et de nos rivières. À ce titre, les actions menées par les milieux associatifs doivent être soutenues. Le WWF est un bon exemple, avec des réalisations remarquables pour la nature de notre Canton. La photo ci-dessous a d’ailleurs été prise lors du cinquantième anniversaire du WWF à Genève.
Dernière mise à jour : 20 janvier 2024, Pauletto, Christian
Updated on: 20 January 2024, Pauletto, Christian
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